Demain Le Grand Soir
NI DIEU, NI MAITRE, NI CHARLIE !

Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...

Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".

Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.

" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "

Piotr Kropotkine -

Une bande de militants d’extrême-droite tente d’agresser Émile Pylas
Article mis en ligne le 6 juin 2014

par siksatnam

Le lundi 2 juin dans la nuit, le chanteur militant a été encerclé par une bande armée de battes de baseball.

A la sortie du Bergerac, bar situé rue Colbert à Tours, Émile Pylas est tombé nez-à-nez avec cinq jeunes armés de battes. Ceux-ci lui ont lancé : « Tu tombes bien, on t’attendait » et l’ont encerclé en vue de le passer à tabac. Pylas a pu leur échapper en profitant de la présence de nombreux passants.

On s’étonne que les flics, qui patrouillent ostensiblement et en grands nombres sur les bords de Loire et aux alentours de la place Plumereau, laissent circuler des petits fascistes avec des battes en plein centre-ville.

Le 11 novembre dernier, alors que le groupuscule d’extrême-droite Vox Populi organisait sa tristement célèbre « marche aux flambeaux », on avait déjà pu constater la complaisance de certains flics vis-à-vis des militants identitaires, qui avaient pu charger librement des contre-manifestants pacifistes, sans intervention des CRS positionnés entre les deux groupes. Rue Colbert, Pierre-Louis Mériguet avait frappé une personne avec une chaise, sans être ensuite inquiété par les « forces de l’ordre », qui avaient pourtant assisté à la scène.